Il s’agit de chanter dans le plaisir. Nul besoin de savoir lire la musique. Gildas ne fournit pas de partitions. Tout se fait à l’oreille : « J’écoute / je reproduis ».

Il part d’un principe fondamental qu’il a maintes fois vérifié :

PERSONNE NE CHANTE FAUX !

L’oreille manque souvent d’éducation. Combien de gens n’ont-ils pas été bridés ou censurés dans des repas de famille ou dans la salle de bains le dimanche matin sous prétexte qu’ils étaient des cousins d’Assurancetourix ?

Il maintient : TOUT LE MONDE peut chanter.

Il est conscient du bien-être que cela procure, il a eu récemment un choriste médecin fraîchement à la retraite qui lui a avoué qu’il aurait dû prescrire cette activité à ses patients durant sa carrière…

Le répertoire est principalement composé de chansons francophones de toutes époques et de tous styles. Gildas insiste sur l’importance de chanter dans sa langue maternelle (quelle qu’elle soit) et sur l’éclectisme du répertoire. Il peut donc aussi bien travailler sur des chansons d’ Arletty, Boris Vian, Brassens que sur Joe Dassin, Johnny, Téléphone, Stromae ou Christine & The Queens…

Il propose également des exercices rythmiques, sonores et corporels, car le rythme est le fondement de toute pratique musicale.

Une façon, à l’instar de M. Jourdain, de faire du solfège sans le savoir…

Il est très favorable aux harmonisations à 3 voix, qui permettent le plus souvent la mixité au sein des pupitres.

Qui dit expression artistique, dit présentation publique à un moment donné… Il ne s’agira pas de produire un spectacle en tant que tel mais de présenter publiquement l’état d’un travail.